Invité surprise chez ma Maîtresse

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il y a 6 ans

Invité surprise chez ma Maîtresse

J'arrive devant son appartement et je trouve la porte entrouverte. Je frappe légèrement mais je ne perçois aucune réponse. J'ose alors passer la tête par l'entrebâillement de la porte, et j'aperçois un mot en évidence sur le guéridon. Le mot est tout simple : "Entre, esclave".

J'entre alors dans l'appartement, je referme la porte derrière moi, je m'avance dans le living et voit un autre mot sur la table basse du salon : "Voici ta tenue appropriée à ta condition. Enfile-la, puis enchaîne-toi les chevilles ainsi que les poignets derrière le dos avec les bracelets en cuir, ferme-les avec les cadenas, et bâillonne-toi bien serré, je vérifierai. Laisse les clés des cadenas sur la table basse".

Sur la table basse, il y a cinq cadenas, des bracelets en cuir pour poignets, des bracelets en cuir pour chevilles, reliés par une chaîne d'environ 15 centimètres et un bâillon-boule harnais, composé de plusieurs lanières de cuir à attacher autour de la tête et d'une boule centrale pour enfoncer dans la bouche. La tenue, quant à elle, est composée d'une minijupe noire moulante et brillante, d'un petit tablier blanc en dentelles, d'un chemisier blanc avec des froufrous, d'un string noir, d'un soutien-gorge assorti, de bas noirs, d'un porte-jarretelles noir, d'escarpins noirs brillants à ma taille, d'un bandeau en dentelle blanche pour mettre dans les cheveux et même d'une perruque de long cheveux chatains! Bref, une vraie tenue de soubrette, complète de A à Z. Je m'attendais à tout sauf à ça.

Après avoir passé tout ce matériel en revue, j'ai un moment d'hésitation et de remise en question. Après tout, je ne l'ai jamais vue en réel, et ça ne fait que deux mois que l'on se connaît par internet et par téléphone, passant de longues soirées à nous raconter nos fantasmes. Le problème de ce rendez-vous, c'est que je ne sais pas du tout à quoi m'attendre : j'ai juste accepté de me soumettre à elle pendant une demi-journée. Elle m'a dit qu'elle me réservait des surprises, d'accord, mais moi je pensais qu'on boirait un verre pour faire connaissance avant de rentrer dans le vif du sujet... Pour une entrée en matière, c'est assez rapide.

Je suis donc assez fébrile, et après avoir passé pratiquement une minute à hésiter, l'envie de concrétiser mes fantasmes devient la plus forte et je décide de me lancer. Je me déshabille complètement et j'enfile la tenue complète. Vu mon état d'excitation, mains tremblantes, je galère plusieurs minutes avant d'arriver à fixer les bas nylons aux jarretelles. J'ajuste la perruque et je chausse les escarpins. Je me dis que je n'arriverais jamais à marcher avec ces talons aiguilles si mes chevilles sont en plus enchaînées, mais je ne vais pas commencer à discuter les ordres dès le début. Je m'assieds alors sur le divan pour fixer les bracelets noirs à mes chevilles, que je ferme par deux cadenas. La chaîne entre les chevilles est assez courte.

Ensuite, je prends le bâillon ; j'enfonce la boule rouge dans ma bouche et je tends les lanières derrière ma tête, assez serrées, comme l'a demandé Maîtresse, et je ferme les boucles. Cela fait, je n'oublie pas de me passer le petit bandeau en dentelle blanche dans les cheveux. Je dépose ensuite les deux cadenas sur la table basse.

J'ai ensuite encore un moment d'hésitation. Je me dis que, si j'attache les mains, je serai à la merci d'une inconnue, et sans pouvoir appeler à l'aide. Là encore, l'envie est trop forte. Je décide d'aller jusqu'au bout. J'entoure mes poignets des bracelets, je les ferme avec les cadenas, je les mets dans le dos et là je dois me contorsionner pour pouvoir fermer le cadenas qui reliera les deux bracelets. En effet, dans le dos, il n'y aucune chaîne entre les deux bracelets mais uniquement le cadenas. Au bout de 30 secondes d'essais, j'entends "clic". Ca y est, le cadenas est fermé. Mains dans le dos, je jette alors les trois cadenas à côté des deux autres, sur la table basse.

J'attends alors au milieu de la pièce, ainsi vêtu et harnaché, me sentant un peu ridicule tout en étant assez excité.

J'entends alors un bruit de porte qui s'ouvre. Je me doutais un peu que la Maitresse était présente, mais qu'elle attendait dans une pièce annexe que j'exécute ses directives. La porte ouverte, une superbe créature métisse apparaît dans l'encadrement. L'air assez sévère, de taille moyenne, mince, elle porte un tailleur noir assez court, des bas et des bottes noires à talons. Elle a les cheveux noirs et lisses jusqu'aux épaules. Elle a une cravache noire dans une main et un collier dans l'autre. Elle me jauge du regard, je ne sais plus où me mettre, alors je baisse les yeux.

Elle reste comme ça plusieurs secondes à me fixer du regard, sans mot dire. Elle s'approche alors de moi assez lentement, me contourne, et, toujours sans mot dire, me passe le collier de cuir autour du cou et le referme.

C'est alors, qu'à ma grande surprise, elle lance "c'est bon, tu peux venir". A ma plus grande stupeur, un homme assez grand et costaud apparaît alors de la pièce voisine. Il est vêtu d'un smoking noir, tout simplement. Je suis horrifié, ce n'était pas du tout prévu, nous n'avons jamais évoqué une tierce personne dans le jeu, et encore moins de sexe masculin. Je regarde alors la Maîtresse, l'implorant du regard et tentant de faire jaillir des mots du bâillon, qui ne doivent ressembler qu'à des sons inarticulés.

Je me prends alors un coup de cravache sur les fesses, sans trop de mal grâce à la jupe, suivi d'un "Tais-toi, esclave! Tu as voulu être un esclave, tu vas en être un. Tu vas nous servir comme soubrette, mon ami et moi, et sans discuter. D'ailleurs, tu vas rester attaché et bâillonné. Je veux être sûre que tu ne prennes pas la fuite. Maintenant, à genoux!".

La m o r t dans l'âme, je me dis que je vais quand même jouer le jeu, de toutes façons je ne vois pas d'autre échappatoire. Dans ma tête, toutes sortes d'idées se bousculent, je me dis que je suis sans doute tombé sur une dingue... Bref, je m'agenouille, mais, à cause de la chaine des chevilles, je dois pratiquement me laisser tomber à genoux. Heureusement que le sol est recouvert de moquette.

Ma t o r t i o n n a i r e va alors chercher quelque chose dans la pièce voisine et revient avec une sorte de plateau noir, qu'elle fixe autour de ma taille via deux chaines tendues aux deux coins, qu'elle accroche ensuite à mon collier et via une ceinture qui tient le plateau horizontalement autour de ma taille, contre mon ventre.

L'ami de la Maîtresse s'éclipse et revient avec deux verres à pieds et une bouteille de champagne. Il pose le tout sur mon plateau, et ils s'asseyent dans le divan, face à moi, toujours à genoux à terre.

  • "Nous allons prendre l'apéritif. Toi, tu ne bouges pas d'un poil, sale esclave désobéissant. Si tu fais tomber les verres, tu seras sévèrement puni".

Ils se versent alors le champagne et commencent à trinquer. Je ne peux que les regarder, mais je deviens vite très gêné car de la bave commence à me dégouliner le long du menton, à cause du bâillon-boule. Pendant qu'ils boivent, ils me contemplent et font toutes sortes de réflexions, qui me m'inquiètent pour la suite :

  • "Alors, qu'est-ce que tu penses de ma nouvelle soubrette?"

  • "Pas mal, assez féminine..."

  • "Elle te fait bander"?

  • "Ouais, assez, je dois dire"

  • "Mmh, coquin, déjà...Tu trouves sa tenue comment?"

  • "Très sexy... C'est toi qui l'a choisie, telle que je te connais"?

  • "Oui, je voulais vraiment une tenue qui fasse très soumise..."

  • "Je te reconnais bien là. Tu as toujours été une vraie perverse"

  • "Tu trouves ses fesses comment"?

  • "Elles sont super bien roulées et bien moulées dans sa petite jupe, j'adore et d'ailleurs tu le sais très bien!"

  • "Oui, mais j'aime te l'entendre dire et je veux que ma soumise l'entende aussi...Je veux qu'elle sache ce qui l'attend..."

  • "En tout cas, laisse-lui son bâillon jusqu'au bout, ça m'excite encore plus quand elles sont totalement impuissantes".

  • "Je sais, ne t'inquiète pas. Pour moi aussi, un bon esclave c'est un esclave bâillonné. N'est-ce pas petite soubrette?"

Je réponds alors par un "mmmhhhhppfff" étouffé par le bâillon. Je vois alors la main de la Maîtresse qui se pose sur le pantalon de son ami, suivi d'un :

  • "mmh, on est déjà bien gonflé, je vois..."

  • "oui, ta soumise m'excite beaucoup..."

La Maîtresse se lève alors et me détache le plateau. Elle m'ordonne d'avancer à genoux vers le divan, ce que je fais avec difficulté. Arrivé devant l'ami elle m'attr a p e l'arrière de la tête par les s a n g les en cuir et me f o r c e à me pencher vers son pantalon. Je me dis en moi-même "non, ce n'est pas possible, je n'ai jamais fait ça, et ça ne me tente pas!"

Elle appuie très fort, je ne peux pas résister et la boule de mon bâillon se retrouve contre son sexe que je sens tendu derrière son pantalon. Ma Maîtresse fait alors aller ma tête de haut en bas, le long de son sexe. La boule de mon bâillon, pleine de bave, le branle lentement, à travers son pantalon. Si on m'avait dit que je me retrouverais dans cette situation un jour, je ne l'aurais jamais cru. La maîtresse continue à imprimer son mouvement de haut en bas, en me tenant solidement la tête et son ami commence à haleter.

Mais le pire, c'est que cette situation extrêmement humiliante commence à m'exciter et je me mets à bander aussi, ce qui n'est pas très confortable dans un string dame. Je décide d'accélérer alors le mouvement de moi-même, décidé à en finir le plus vite possible.

  • "Mais regardez-moi ça, c'est qu'elle y met de l'ardeur, ma petite soumise...ne me dis pas que branler un mec avec ton bâillon t'excite, quand même?"

  • "mmmmmhhhppff"

C'est alors que le gars se lève d'un coup, ouvre son pantalon, baisse son boxer, et me passe son sexe tendu et gonflé sur le visage. Je gémis dans mon bâillon car je me dis qu'ils vont m'obliger à lui faire une fellation, mais je veux l'éviter à tout prix.

Ma Maîtresse intervient :

  • "non, pour l'instant, elle ne te suce pas, je veux que tu lui éjacules sur le visage, je veux qu'elle se sente moins que rien, je veux qu'elle soit humiliée".

  • "mais..."

  • "ne t'inquiète pas, tu auras tout le loisir qu'elle te suce, n'oublie pas qu'on va la garder ici en cage..."

Résigné, l'homme acquiesce et dirige alors son sexe vers ma bouche bâillonnée et commence à se masturber. Pendant ce temps, ma Maîtresse me maintient la tête bien en face des deux mains, sans doute pour éviter que j'évite les jets au dernier moment. Elle se penche alors à mon oreille et me chuchote : "tu vas en prendre plein le visage, petite chienne".

Au bout de quelques secondes, l'homme pousse un râle et plusieurs giclées de sperme me jaillissent au visage, particulièrement sur la boule de mon bâillon, sur mes lèvres et sur mon menton.

Je n'en mène pas large, ma honte est tellement intense que je baisse les yeux ; c'est alors que ma Maîtresse se poste devant moi armée d'un appareil photo numérique. Non, elle ne va quand même pas me prendre en photo dans cette situation déplorable! J'essaie de protester mais le bâillon étouffe les sons : "mmmhhhhhh mmmhhfff". Un sourire aux lèvres, elle appuie alors sur le déclencheur et le flash crépite. Elle commence par prendre deux ou trois plans larges, puis elle se rapproche de mon visage et prends des gros plans. J'ai le réflexe de baisser mon visage, mais elle demande au gars de me tenir la tête pendant qu'elle imm o r t alise la scène, ce qu'il fait avec plaisir.

"Voilà", dit-elle, "ces photos, c'est premièrement pour ma collection personnelle, et deuxièmement, pour te garder bien docile...en effet, si tu n'es pas sage, je serai au regret de les publier sur mon blog..."

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